KITTY KITTY - Le futur qui ne fut jamais - A Rossi & Q Raffoux

Résumé :

 

KITTY KITTY - le futur qui ne fut jamais est un roman épisodique de space western. Empruntant à d'autres sous-genres de la science-fiction comme le space opera et le cyberpunk, KITTY KITTY possède un univers unique profondément retro. Car dans cette uchronie, les soviétiques ont planté le drapeau rouge sur la Lune dès 1949. Depuis, l’humanité repousse ses colonies aux confins du système solaire. Elle y consacre toutes ses ressources scientifiques et industrielles, si bien que ses codes culturels sont figés dans les années 1980. C’est dans cet espace sans foi ni loi que Lee, le Maine Coon de l'espace, survit avec "sa" sapiens de partenaire, Ali. À bord du mythique Kitty, ce duo de chasseurs de primes parcourt le cosmos sans pitié en enchaînant les catastrophes.

 

 

L'avis de Danilomzb :

 

Un grand merci à Aliénor Rossi pour ce service presse.

 

Ali chasseuse de primes, enfin « Auxiliaire de justice », trop badass pour ce rôle, visite la galaxie de long en large à la recherche de « méchants » à capturer. Bon capturer c’est le terme officiel, exécuter serait plus juste tellement elle ne fait pas dans le détail.

Elle est accompagnée dans ses aventures par son associé Lee, Maine coon qui parle et surtout qui pilote un engin qui date et qui se nomme Kitty.

Vous allez les suivre dans pas moins de 24 aventures, délirantes, sanglantes parfois cruelles mais toujours éminemment drôles. Le sarcasme est la première arme des auteurs, la deuxième étant une capacité hallucinante à faire des références aux années 80 et là soyons clairs : je ne suis pas du genre à me faire entourlouper par de vagues petites allusions à Desireless… non en fait ils m’ont eue avec Capitaine Caverne !

 

J’ai adoré ce côté space opéra dans cet univers post tout, j’ai rigolé aux réflexions de Lee, tellement chat qu’il ressemble souvent à Garfield dans ce côté prétentieux de nos matous préférés, apprécié les délires girly d’Ali alors qu’elle flingue du gros dur à tout va.

Enfin j’aime que les auteurs ne se prennent pas au sérieux tout en étant extrêmement précis et méticuleux dans l’extrême. Je ne pourrais vous citer toutes les références, il y en a tellement que j’ai cessé très vite de les noter. 

La science-fiction se prend parfois au sérieux sous le prétexte qu’elle « invente le futur », celui que vous lirez dans ce roman ne fait pas plus envie mais au moins il fait rire et ça mérite mon admiration ! 

 

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