Les chroniques des Terres Rouges - Liz E Myers

Résumé :

Le royaume des Terres Rouges, baptisé ainsi depuis des temps immémoriaux, en raison des nombreux combats qu'il a provoqués pour sa conquête, est en proie à un saccage incessant, depuis la mort du roi Tirsten, le dernier des "rois bénis". En effet, lorsque la famille Real, qui maintenait la paix depuis dix générations de souverains bienveillants, a été sauvagement assassinée, tout a changé, et la guerre semble à nouveau à l'ordre du jour.

Alors que le roi Lö Maart essaie enfin de redonner au royaume sa noblesse du passé, la lumière se fait subitement sur les circonstances de la mort tragique des Real…

Mais alors, ces êtres spéciaux devaient-ils vraiment disparaître ?

Et surtout, pourraient-ils sauver le royaume, s'ils étaient encore là ?

L’avis de Danilomzb :

L’histoire d’une royauté perdue, décimée par une alliance de traîtres, les Real étaient des rois éclairés, depuis le décès des derniers représentants, le monde va mal. Mais ont-ils vraiment tous disparus ?

On va suivre, dans ce roman, une épopée racontée à plusieurs voix. Chacun aura son chapitre même ceux qui ne sont plus. Ce choix d’écriture fait vraiment la différence en nous permettant de découvrir tous les protagonistes de cette histoire et les versions de chacun.

Avec une héroïne comme on les aime : guerrière infatigable mais pleine d’empathie, Liz E Myers sait aussi faire vivre des personnages qui me font rire. Mon chouchou restera Brehan, pas de pouvoir particulier mais beaucoup d’humour et une amitié sincère et fidèle. Sa plume est toujours aussi enlevée, elle fait la part belle à l'action sans négliger les sentiments.

Pour être honnête j’en aurais bien repris un peu de cette fantasy là ! Plein de sujets me semblent encore à explorer sur ce monde et ces personnages, alors ma question à Liz E Myers sera : suite ou pas suite ?

Une mention spéciale pour la couverture que je trouve superbe !

En attendant, faites-vous plaisir en lisant ce "peut-être premier tome" qui se suffit à lui-même grâce au talent de son auteure, qui est, je l'avoue, toujours au top.