Je vais buter mon boss - AD Martel

Je vais buter mon boss par [A.D. Martel]

 

Résumé :

 

Avez-vous déjà ressenti ce besoin irrationnel de frapper la tête de quelqu’un contre un mur ou d’au moins déverser le contenu d’une poubelle sur sa tête ? 

Chaque jour, j’essaie de supporter mon boss, Andrew Hopkins, alias le « tombeur de ces dames ». Personnellement, je pense que le qualificatif d’« enfoiré de connard prétentieux » lui siérait davantage. Et le pire, c’est qu’il se croit irrésistible ! Ses tentatives pour me séduire sont plus pathétiques les unes que les autres. Surtout, ne pas craquer… Surtout… Je ne dois pas le buter ! 

 

L’avis de Danilomzb :

 

Merci à AD Martel pour sa confiance et sa gentillesse.

Voilà comment Christine, fiancée à la belle Anaïs, et désirant lui prouver qu’elle peut cacher son mauvais caractère et garder un travail « normal », se retrouve secrétaire du fameux Andrew Hopkins.

Fameux parce que sa réputation le précède et il va être à sa hauteur avec elle : c’est un dragueur impénitent, aucune femme ne lui résiste et celles qui le font partent en courant et souvent en pleurant. Aucune limite et aucun scrupule, aucun critère physique, pas besoin qu’elles soient célibataires, jamais peur d’être attaqué pour harcèlement rien ni personne ne l’arrête, mais avec Christine il est tombé sur un os et un beau !!!

AD Martel s’est bien amusée avec ce changement de style, elle qui nous avait habitués à la science-fiction se lance dans la romance humoristique mâtinée de F/F. Elle flirte gentiment avec le feel good en y ajoutant de l’aventure et un peu de mystère.

J’ai beaucoup aimé les personnages, en particulier la famille de Christine qui flingue quelques clichés, mais surtout Christine elle-même, qui, à part une légère propension à la colère, est une femme entière qui reste droite dans ses escarpins et ça fait du bien.

C’est drôle, léger, bien écrit sans oublier, elle ne perd pas cette bonne habitude, de distiller quelques messages sur la tolérance, le respect vis-à-vis des femmes et une légère dose d’écologie.

Il paraît que ce roman fait 400 pages ?? Je ne m’en suis pas aperçue, la fin est arrivée sans que je perde mon sourire. Un bon moment de lecture et de détente, n’hésitez pas.

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