L’avis de Danilomzb :
Je remercie AD Martel pour sa confiance renouvelée avec ce service presse.
À la fin de la première partie, nous avons laissé Alexis dans une situation compliquée, il va, comme à son habitude, appliquer la politique de l’autruche en fuyant les personnes concernées par ses erreurs. Une aide inattendue lui permet de faire le point et de prendre de bonnes décisions, mais pour combien de temps ? Et puis ça se complique côté menaces, qui en veut à ce point à la société et à son PDG ?
Alexis est le roi des situations compliquées et le pire c’est sa réaction, toujours la même : la fuite… Grâce à ce nouvel opus, on va en apprendre plus sur lui, cela nous éclaire sur ses réactions. Côté humour, il continue ses facéties contre ses collègues Bruce et David, sa sœur n’est pas épargnée non plus. Toute cette situation, aussi pourrie soit-elle, va faire grandir Alexis et vous découvrirez le pire et le meilleur de lui.
Les personnages les plus mystérieux restent David « premier de la classe », et Sung-Jae Park « sexy boss ». Difficile de comprendre les motivations du premier et les désirs du second, je gage que la fin va bien vous surprendre. C’est un peu le leitmotiv de ces romans : ne jamais se fier aux apparences à propos des protagonistes et ne jamais sous-estimer la force de la famille.
AD Martel s’est un peu plus lâchée dans cette deuxième partie, avec plus d’émotions et un mystère complexe. Ses personnages sont touchants et le MM est discret. Elle a fait d’Alexis un colosse aux pieds d’argiles, il frime un peu trop pour ne rien avoir à cacher.
Une lecture d’été agréable, des rires et de l’émotion, vous passerez un bon moment à suivre les péripéties d’Alexis.
Résumé :
Un cauchemar. Ce mot résume bien ces dernières 24h. Après ce qu’Alexis a osé faire, plus rien ne sera jamais comme avant. Sa sœur va le détester à vie, et S.J., le boss qui fait battre son cœur… ne lui pardonnera jamais.
Le pire dans tout ça, c’est qu’Alexis doit supporter le sourire niais de « Premier de la classe ». Pourquoi ce dernier l’a-t-il aidé ? Que mijote-t-il ? Car c’est sûr, un type qui adore les chemises à carreaux ne peut pas être net !