La mort en cadeau - Agneta Gerson

L'Avis d'Evalya:

Un immense merci à l’autrice pour cette œuvre captivante et à Simplement Pro pour avoir permis ce partenariat enrichissant.

C’est toujours un plaisir de découvrir des récits qui nous plongent dans des mystères haletants et des intrigues fascinantes.

Merci pour cette opportunité de lecture qui ouvre des portes vers des univers palpitants !

Il y a des morts silencieuses, celles qui s’effacent dans l’indifférence, et il y a celles qui résonnent comme un fracas dans la nuit.

En Islande et en Afrique du Sud, des esprits brillants  disparaissent, un à un, sous des circonstances obscures.

Chercheurs, pionniers du savoir, fauchés par une main invisible. Un hasard ? Certainement pas. À Bangalore, alors que la mégapole  s’illumine sous le ballet incessant des écrans et des lignes

de code, deux hackers se retrouvent entraînés dans une spirale infernale. Un inconnu leur confie une mission : pénétrer le cœur d’un

système de surveillance. Une demande ordinaire dans leur monde, mais ce qu’ils découvrent dépasse toutes les frontières du rationnel. Un complot d’une envergure inimaginable, tapi sous le

sceau du secret défense. Pendant ce temps, Charleen Brown, agent de la NSA, perçoit un appel à l’aide venu des ténèbres. Une femme, brisée par la disparition de son mari, cherche la vérité.

Une vérité qui, entre les murs de l’Agence, sembleli. Mais Charleen est de celles qui refusent de plier sous le poids des ordres. Ce qu’elle s’apprête à découvrir pourrait faire basculer le fragile

équilibre du monde. Et puis, il y a Adam. Son nom flotte comme un spectre, insaisissable, presque irréel. Une ombre qui se déplace avec une précision glaciale, un architecte de l’invisible.

Qui  est-il ? Que veut-il ?

Son rôle dans cette danse macabre reste un mystère, un fil tendu entre manipulation et vérité brute.

Pourquoi ces morts ? Pourquoi cet effacement méthodique du savoir ? Le monde avance sous les lumières artificielles de la technologie, mais derrière les écrans, l’obscurité rôde encore.

Et la mort, ultime arbitre de cette guerre souterraine, continue de frapper, offerte comme un dernier cadeau à ceux qui savaient trop.